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mercredi 20 octobre 2010

Sarkozy va t il s'en sortir

Nicolas Sarkozy n'avait effectivement pas le choix de faire sa réforme des retraites. Comme il le répète et rerépète jusqu'à ne plus en devenir crédible, il y a trop de retraités pour le nombre d'actifs, il faut donc augmenter l'âge de la retraite pour faire baisser le poids de ces dépenses. Il a raison car vivre en s'endettant ne peut pas tenir.

Bon la ou je ne suis plus c'est qu'il nous dit que c'est la seule option. Il y a d'autres solutions. Bon je suis moins intelligent que les politiciens mais je me dit que la répartition c'est simple. Il y a une boite et on partage. Si il y a plus de monde, chacun a moins. Pourquoi ne parle t on jamais de diminuer les retraites. Les actifs ( les entants ) gagnent moins que leurs parents ( retraités ). Pourquoi n'y a t il pas eu de débat avant. Je suis sur qu'il existent encore d'autres solutions. Je ne détaillerais pas ici mes idées.


Mais à propos de tenir je me pose la simple question si lui il va tenir. Et si oui combien de temps. Jamais un mouvement social n'avait terminé par un coup de force de la part du gouvernement. Oui il y avait des mouvements sectoriels, mais la on assiste à une révolte généralisée qui dépasse le cadre des retraites. Les retraites sont la goute de trop. L'injustice etait trop grande.


A lire la presse étrangère qui n'a pas la tête dans le guidon comme nous en France, on y lit que Sarkozy est comparé à Louis 16. Le monarque résiste. Il tient bon face à la contestation. Il ne discute pas. Même pas une petite pause pour calmer les choses. Au contraire, il provoque par une fermeture de toute négociation.


Veuillez installer Flash Player pour lire la vidéo


J'ai toujours appris dans mes cours d'économie que les conflits duraient un temps puis venait le temps de la négociation ou chaque parti voulait avoir le maximum. Mais peut on imaginer ou un conflit ou le peuple a 0% et le gouvernement avec ses amis ont 100%. Croyez vous que les français raleur comme ils sont, vont se laisser faire?


La police et même l'armée est ce la solution ?


Bref aujourd'hui le suspense est intact. Personne n'a gagné. Mais une petite voix me dit qu'un politicien, qu'on peut nomer n'importe comment président, roi ou autre ne peut pas tenir longtemps face à la colère d'un peuple qui a faim.


Ce conflit n'est plus un simple conflit de syndicalistes mais il tourne en rebélion et révolte. Quand il n'y a pas moyen de discuter d'après vous comment vont se passer les choses ?


Grève
conflit

mercredi 13 août 2008

Ossétie du Sud


On ne connaissait pas cette petite région jusqu'en Aout 2008. Guerre des informations pendant un conflit il est difficile de faire la part des choses. Cherchons à en savoir plus...

Après la Révolution russe, la Géorgie déclara son indépendance et annexa la partie sud de l’Ossétie. Lors de la période de la Géorgie indépendante en 1918, le territoire des Ossètes du Sud avait été le théâtre d'une invasion assez brutale des seconds.

La partie dénommée Ossétie du Nord fut insérée dans la Fédération de Russie comme région autonome, officiellement car la chaîne du Caucase, très difficilement franchissable (cols à plus de 2000 m) est un défi à toute administration commune. Depuis 1925, les Ossétes réclament l'unification

En 1994, profitant de la faiblesse du nouvel État géorgien, les nationalistes ont proclamé l'indépendance de l'Ossétie du Sud. Ce nouvel État s'est rapproché de la République d'Ossétie du Nord, avec laquelle elle a une frontière et une culture communes.

Les indépendantistes d'Ossétie du Sud souhaitent également une réunification avec L'Ossétie du nort, mais ni la Fédération de Russie, ni l"OSCE et encore moins la Géorgie ne soutiennent cette solution.

Depuis l'accord de Dagomys en 1992, une "force de maintien de la paix" composée de militaires géorgiens, russes, Ossètes du Sud et Ossètes du Nord est en place, mettant, dans les faits, les Géorgiens en minorité dans le territoire qui est internationalement reconnu comme le leur.

La République d'Ossétie du Sud a tenu un référendum sur son indépendance en 2006 (le premier référendum de 1992 n'a pas été reconnu au niveau international) : plus de 90 % des votants s'y sont prononcés pour l'indépendance. Le gouvernement géorgien, les Etats Unis et l UE considèrent ce référendum comme illégal alors que la Russie le reconnait sans toutefois reconnaitre l'indépendance de la république.


Plus de 90 % des votants de cette province de Géorgie ont dit « oui » lors d'un référendum non reconnu par la communauté internationale. Les habitants de Tskhinvali, la capitale de l'Ossétie du Sud, province séparatiste de Géorgie, n'ont pas attendu la proclamation des résultats pour fêter, dimanche 12 novembre, la victoire du « oui » au référendum sur l'indépendance auquel étaient conviés 55 000 électeurs. « D'abord l'indépendance, ensuite le rattachement à la Russie », ont-ils clamé.

http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/acheter.cgi?offre=ARCHIVES&type_item=ART_ARCH_30J&objet_id=965745

mardi 12 août 2008

humour russe



Voici ce qu'on peut lire sur un site internet russe l'équivalent de tf1.


Président de la Russie Dmitri Medvedev a déclaré que "sur la base du rapport a pris des mesures sur l'achèvement de l'opération forcé Géorgie à la paix."

"J'ai décidé de conclure l'opération a contraint les autorités géorgiennes à la paix. Objectif atteint," - Medvedev a déclaré lors d'une réunion de travail au Kremlin avec le ministre de la Défense Anatoly Serdyukov, puis chef d'état-major général Nikolaï Makarov.

"La sécurité de nos forces de maintien de la paix et rétablir les populations civiles. Aggressor punis et subi des pertes considérables. Ses forces armées désorganisés," - dit le président.

En outre, comme ITAR-TASS agence de presse, Medvedev a exigé que le Russe militaire en cas de poches de résistance en Ossétie du Sud à se prononcer sur sa destruction. «S'il ya des poches de résistance et d'autres offensives agressives - de se prononcer sur la destruction," - charge Medvedev Serdyukovu et Makarovu.

Le président al'intention d'octroyer pour les actions de Russe militaires dans la zone de conflit. "Je constate la grande efficacité de notre nouveau contingent de maintien de la paix, de travail cohérent de toutes les entités," - a déclaré Medvedev. "Je vous demande, Anatoly E. (Serdyukov), à soumettre des propositions pour l'État Prix opérations et les participants à exprimer mes remerciements à tous" - at-il déclaré.

Президент России Дмитрий Медведев заявил, что "на основе доклада принял решение о завершении операции по принуждению Грузии к миру". "Я принял решение завершить операцию по принуждению грузинских властей к миру. Цель достигнута", - сказал Медведев на рабочей встрече в Кремле с министром обороны Анатолием Сердюковым и начальником Генштаба Николаем Макаровым.

On voit que la notion de paix en russie ressemble à celle des américain en Irak. Espérons qu'il n'y a pas de ressemblance entre ces deux conflit.