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jeudi 10 novembre 2011

Sarkozy a fait son cinéma a Cannes

Cannes porte bien son nom de ville du cinéma. Le festival de Cannes ne monopolise plus le grand écran. Le G20 cette année, s'illustre dans la comédie romanesque ( ou l'art dramatique s'est selon ) avec en tête d'affiche Nicolas Sarkozy. On a réunis les grands de ce monde, pour y parler crise de l'endettement publique et y trouver des solutions pour éviter un naufrage de la zone Euro et une faillite virtuelle des États-Unis.

Mais Sarkozy en grande star, se paie pour commencer une note de frais d'hôtel de  46'000 Frs. Et le premier ministre François Fillon quelques centaines de kilomètres plus au nord, annonce des augmentations d'impôts et de taxes sans économies substantielles. Notamment dans les dépenses publiques et plus précisément dans une fonction publique obèse . Des hausses d'impôt pour financer entre autres des frais hôteliers totalement injustifiés. Il est vrai qu'il ne fut pas le seul; Obama a fait presque aussi fort à 3000 Frs prés. A quelque mois des élections présidentielles, les contribuables électeurs, apprécieront ces hausses d'impôt pour financer le gaspillage. Peut--être que dans ce registre, les français voudront élire le modèle plutôt que la copie pour enfoncer encore plus la France. Le modèle en question est bien évidemment le PS.


En France on parle et on parle d'économies et de désendettement publique. Mais comme dit le dicton " qui a bu boira ". Les dirigeants français et ceux qu'il veulent le devenir, ont tous le même discour de l'alcoolique. On promet le plein emploi, des finances saines, de la croissance etc... mais rien ne se fait. Pourtant ce ne sont pas les talents politiques imprégnés de responsabilités qui manque en France. Se sont surtout les électeurs qui ne semblent pas être au courant de leur existence. Dommage pour eux; vu que c'est eux finalement qui en paie depuis 40 ans l'addition.

Sarkozy a eu la chambre la plus cher au G20 en payant 37 000 euros

lundi 12 septembre 2011

L'euro va-t-il mourrir ?

La crise de l’Euro est désormais entrée dans sa phase terminale, comme cela a été prévu à la fin de 2010. La crise actuelle est appelée à s’aggraver, rythmée par le défaut de la Grèce (octobre ou novembre), le déclenchement de la crise Espagnole et une crise bancaire généralisée dans les pays de la Zone Euro. Le temps de la crise s’impose désormais aux politiques. Les conditions de gouvernance de la zone Euro sont clairement inadaptées, mais les conditions de réformes de cette dernière sont incompatibles avec la temporalité de la crise. Nous sommes donc face à l’agonie de l’Euro.

La crise grecque a pris une tournure clairement incontrôlable.Un défaut de ce dernier pays ne peut plus être évité. Il peut seulement être retardé. Il peut survenir à partir du mois d’octobre 2011, même s’il est encore probable qu’il se produira entre novembre et décembre 2011. Ce défaut ne fait sens que si la Grèce sort de la zone Euro, ce qui pourrait survenir soit immédiatement soit dans un délai de 6 à 8 semaines après le défaut. Les conséquences sont alors les suivantes

Avec le défaut et avant la sortie de la Grèce de la zone Euro, la spéculation se déchaînera contre le Portugal, l’Irlande, l’Espagne et l’Italie (et peut-être la Belgique). Elle se combinera avec une crise sociale grave en Espagne liée à l’interruption des allocations chômage pour une partie des chômeurs arrivant en fin de droit. Cette crise obligera l’Espagne à demander l’aide du Fond Européen de Stabilisation Financière (FESF) pour des montants excédant largement ce qui est pour l’instant prévu.

L’Euro, dans sa forme actuelle est condamnée. Les moyens évoqués pour stabiliser puis résorber les déséquilibres tant conjoncturels (comme la hausse rapide du poids des dettes souveraines) que structurels (le déficit de croissance avec le reste du monde développé, le phénomène d’euro-divergence entre les pays) sont aujourd’hui soit insuffisants soit politiquement impossibles

dimanche 11 septembre 2011

EXISTE-T-IL UNE ÉCONOMIE CHRÉTIENNE ?

EXISTE-T-IL UNE ÉCONOMIE CHRÉTIENNE

Les ressources que la terre fournit ne sont pas infinies ! L’économie étudie comment nous utilisons ces ressources afin de satisfaire les besoins humains qui eux, ont tendance à être sans limites. Les relations économiques que nous connaissons au niveau mondial sont le produit des comportements économiques que nous adoptons, volontairement ou non, de manière individuelle. Il revient donc à chacun de choisir la conduite à tenir dans le contexte économique actuel... Bien sûr, beaucoup penseront qu’une économie d’inspiration chrétienne n’est qu’un rêve inapplicable dans notre société mondialisée, gangrenée par la convoitise, la soif de pouvoir, et par la course au profit considéré comme une fin en soi. En se penchant sur les textes bibliques, l'auteure y puise des repères universels pour nous situer face à l’économie, l’argent, la pauvreté. Et tout cela en évitant de tomber dans le piège du découragement, de l’indifférence, ou de la culpabilité face au spectacle parfois attristant que nous inflige la course folle de l’économie mondiale

Voir ce livre sur le site de la Maison de la Bible

Allons nous vers une grande dépression ?

Connu pour avoir prédit la crise financière de 2008, l'économiste Nouriel Roubini estime qu'un nouveau cataclysme financier est proche, conséquence du ralentissement de la croissance mondiale.


Il avait prédit l'explosion de la bulle immobilière américaine et ses conséquences, Nouriel Roubini tire la sonnette d'alarme concernant l'actuelle crise économique.



Pointant coup sur coup le vent de panique sur les marchés d'actions européens, le «coût record» de l'assurance des dettes des banques, la morosité de la reprise de l'économie mondiale et le poids des dettes de la zone euro, il y aurait d'après lui «une probabilité de 60%» que les économies avancées sombrent dans la récession. Nouriel Roubini pointe ainsi l'urgence «de restaurer la croissance, pas pour les cinq ans à venir, mais aujourd'hui». «Nous avons besoin d'un stimulus d'ampleur à court terme, poursuit l'économiste, sous peine de nous retrouver à court de cartouches.

samedi 27 novembre 2010

La crise des monnaies européennes n’est pas terminée

La crise des monnaies européennes n’est pas terminée. La difficulté est d’enrayer la contagion, voulue par les spéculateurs, qui s’attaquent maintenant au Portugal et à l’Espagne…

Quel est le prix de la défiance ?
Un état qui emprunte à dix ans paye, exactement comme un ménage, un taux d’intérêt qui reflète la confiance que lui accordent les investisseurs. Si la Suisse veut emprunter actuellement elle doit accorder un taux d’intérêt de 1,5 %. L’Allemagne doit accepter de payer un taux de 2,7 %, la France de 3,13 % et le Royaume-Uni de 3,34 %. Mais quand l’Irlande emprunte, elle doit payer 9 % et la Grèce 12 %. Des taux usuraires, ingérables à moyen terme. Là encore la mécanique est la même que pour les particuliers : on ne prête qu’aux riches.

lundi 11 octobre 2010

Maurice Allais

Maurice Allais est le seul citoyen français à avoir reçu le prix nobel d'économie.

En 1994, il commence à dénoncer le libre-échange, qu'il rend responsable de l'accroissement du chômage. En 2005, Maurice Allais estimait que l’abandon de la préférence communautaire, décidé en 1974 par Bruxelles, avait entraîné une réduction du taux de croissance du PIB réel par habitant de chaque pays du traité de Rome de l’ordre de 30 à 50 %.

En 2010, Maurice Allais se définit comme un libéral socialiste ; pour éviter la destruction de l'agriculture et l'industrie française, il proposa une réforme rétablissant les préférences régionales au sein du commerce international lorsqu'un écart de salaire est aussi extrême qu’un rapport de un à six par exemple.

En 2007, Maurice Allais publie un ouvrage de synthèse sur la mondialisation intitulé La mondialisation : la destruction des emplois et de la croissance, l'évidence empirique dans lequel il conteste l'idée que le développement incontrôlé du commerce mondial soit bénéfique à tous les pays. Sa conclusion est basée sur une analyse statistique des courbes de croissance et de chômage en France entre 1950 et 2000

Il a soutenu l'idée d'une allocation universelle.

samedi 31 janvier 2009

protectionisme

Pour pallier les insuffisances du marché, pas question de recourir au protectionnisme pour la France contrairement aux Etat Unis. Questionnée sur ce point, Christine Lagarde a fustigé la décision du président américain. Selon elle, le protectionnisme est "un mal nécessaire". Mais pour la ministre, il n'est envisageable qu'à la stricte condition de rester "ciblé" et "temporaire". "

Ma conclusion : ouvront les frontières aux produits chinois et aux salaire Indien ! En France aucun parti politique ne prone le protectionisme ! Pas de protectionisme ! Pas de protection !

http://www.marianne2.fr/Vive-le-protectionnisme-!-Oui-mais-lequel-1-2-_a174231.html

mardi 30 septembre 2008

bourse recession


Voici un graphique qui représente l'évolution de l'indice cac 40 de 1991 à 2008. On y voit très clairement la bulle internet qui commence en 96 et 97 pendant 3 ou 4 ans. Puis CRAK ! Elle explose car internet n'est qu'un moyen de communication. Internet était alors un rêve !
Puis le 11 septembre n'a pas aider les choses. ( 2 ans de baisse ).

Le cycle suivant est moins spétaculaire car la monté est plus raisonnable. 3 ou 4 ans de croissance.

Et nous voila aujourd'hui ( 2008 ) : La baisse. La Bourse anticipe la recession ( moins de crédit, moins d'investissement, moins de travail donc moins de consommation ) Enfin ça c'est la théorie !