http://www.lesechos.fr/info/energie/300322690.htm
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Mais Moscou et Kiev ont un autre jeu en tête. Mardi, Vladimir Poutine a expliqué que les gazoducs ukrainiens n'étaient "peut-être pas en état" d'assurer les livraisons. Or Gazprom, bras armé de la politique étrangère du Kremlin, ne demande pas mieux que d'en prendre le contrôle, comme en Biélorussie et en Arménie.
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