Réflexions, pensées et analyses sur notre monde. Une goutte dans l'océan de l'internet.
lundi 24 décembre 2007
Joyeux Noel
Quel est le vrai sens de noël ?
On peut donner sans aimer, mais on ne peut aimer sans donner ! Pour tous - petits et grands - Noël, c'est la période des cadeaux ! Pour Dieu, Noël, c'est le cadeau sublime - la naissance de Jésus - qu'il offre à toute l'humanité.
La bonne nouvelle du salut
Jésus accepte la mission du Père : mourir pour "sauver le peuple de ses péchés" (Matthieu 1.21). Personne ne pouvait le faire à sa place. Lui qui n'a jamais commis le péché est seul "en mesure de sauver parfaitement ceux qui s’approchent de Dieu" (Hébreux 7.25).
Les bergers répondant au message, ont agi sans délai : ils "se dépêchèrent" d'aller à Bethléhem pour voir le petit enfant (verset 16). Accepter la bonne nouvelle du salut, c'est manifester le même empressement pour aller à la rencontre du Sauveur, et l'aimer...
Que faire du cadeau ?
Hier, on n'en voulait pas dans l’hôtellerie (verset 7). Mais aujourd'hui, ton cœur va-t-il frémir en s'ouvrant, pour accorder toute la place au Sauveur ? Veux-tu laisser naître en toi le Roi des rois ? Alors, comme lors du premier Noël, paix et joie éclateront (versets 10, 14 ; Luc 15.10) !
vendredi 21 décembre 2007
espace schengen : 400 000 000 d'habitants
L'espace Schengen est l'espace constitué par le territoire des États ayant mis en oeuvre en totalité l'acquis Schengen, à savoir les États qui, notamment :
* délivrent des visas valables pour l'espace Schengen ;
* acceptent la validité des visas délivrés par les autres États Schengen pour entrer sur leur territoire ;
* ont supprimé les contrôles aux frontières intérieures ;
* appliquent le code des frontières à ses frontières extérieures.
Le premier accord de Schengen a été signé le 14 juin 1985 par 5 des membres de la communauté européenne d'alors : la République fédérale d'Allemagne, la Belgique, la France, le Luxembourg et les Pays-Bas.
Après l'accord, sera signée la convention de Schengen en 1990 ; celle-ci entra en application en 1995.
La convention d'application de l'accord Schengen a été ratifiée par l’Allemagne, le Benelux, la France (19 juin 1990), l’Italie (27 novembre 1990), l’Espagne, le Portugal (25 juin 1991), la Grèce (6 novembre 1992) et l’Autriche (28 avril 1995). La convention de Schengen a été signée par le Danemark, la Finlande, la Suède, la Norvège et l’Islande le 19 décembre 1996.
L’Italie applique la convention depuis le 1er juillet 1997, l’Autriche et la Grèce l’appliquent depuis le 1er décembre 1997 ; cependant, la levée totale des contrôles des personnes aux frontières intérieures aériennes et maritimes n'est intervenue en Grèce que le 26 mars 2000, alors que l’Italie les levait le 26 octobre 1997 et l’Autriche le 1er décembre 1997.
La Norvège et l’Islande ont signé un accord de coopération avec les États Schengen en même temps que l’accord signé avec le Danemark, la Finlande et la Suède, compte tenu du fait que ces trois derniers, membres de l’Union européenne, formaient déjà un espace intégré de libre circulation des personnes avec la Norvège et l’Islande avec l'Union nordique des passeports.
L’accord fait aujourd'hui partie intégrante des traités de l’Union européenne. L’Irlande et le Royaume-Uni n'ont toutefois pas signé les accords sur les contrôles frontaliers et les visas. En effet, des difficultés sont survenues à propos du contrôle aux frontières de Gibraltar et de la coopération avec l’Espagne. D'autre part, les questions relatives à la liberté de circulation entre les îles britanniques (y compris l’Irlande et les îles Anglo-Normandes) sont en cours d'examen et font l’objet d'un accord spécifique (dit compromis de Dublin) destiné à préserver les acquis des deux espaces de liberté, mais surtout à mettre en œuvre le dispositif commun de contrôle prévu dans le système Schengen et pouvant bénéficier d’une coopération renforcée par un échange d’informations entre les signataires du compromis de Dublin (comme cela a été fait pour préserver les acquis de la liberté de circulation entre les pays nordiques). Ce dispositif a d'abord été mis en œuvre pour la lutte contre le hooliganisme (par le partage des signalements d’interdictions prises contre certaines personnes), mais qui s'étend maintenant à la prévention des trafics illégaux de biens, de services ou de personnes.
La France, en application de la clause de sauvegarde, maintient le dispositif de surveillance de ses frontières terrestres avec le Benelux, en raison de difficultés dans la lutte contre les trafics.
Le 13 mai 2004, les négociations avec la Suisse pour sa participation à l’espace Schengen ont abouti et 54,6 % des votants ont approuvé cette adhésion par votation populaire le 5 juin 2005. La Suisse devient ainsi membre de l’espace Schengen, aux mêmes conditions que les autres pays non-membres de l’Union européenne parties à cet accord, l’Islande et la Norvège. Cette adhésion sera effective lorsque tous les pays membres auront ratifié l’accord passé avec la Suisse, probablement d'ici 2008. Cependant, rien ne changera pour les marchandises qui continueront à être contrôlées car la Suisse n'a pas conclu d'union douanière avec l’Union européenne. Ceci concerne aussi le Liechtenstein car la Suisse s'occupe depuis 1924 du contrôle de la frontière entre le Liechtenstein et l’Autriche. De plus, le Liechtenstein a également demandé l’ouverture de négociations pour son intégration formelle dans l’espace Schengen.
mardi 11 décembre 2007
soutien au webmaster de voxdei
Amis visiteurs et fidèles des sites voxdei et blogdei,
Il n'est pas dans mes habitudes de parler à mots couverts et de tourner autour du pot: je vous propose ici en toute simplicité et comme un "corps" de partager avec moi les frais de justice de "l'affaire Al-Dura", du moins en ce qui concerne la part que j'ai eu, bien malgré moi, à y prendre. Ci-contre, voici deux moyens de participer financièrement, soit en envoyant vos chèques à l'association Christ pour Vous, soit via PayPal (ces 2 moyens permettront à un tiers de confiance de contrôler l'utilisation de l'argent). Pour info, il faut, rien que pour payer les frais de mon avocat, plusieurs milliers d'euros. Je vous épargne mes frais de déplacement Bordeaux-Paris!
Comme vous le savez, donc, dans le cadre de l'affaire Al-Dura, j'ai été inquiété en tant qu'éditeur responsable de ce qui est publié sur le site voxdei. Le correspondant en Israël d'une certaine chaîne de télévision publique française a jugé que des propos, repris de Stéphane Juffa sur mon site, étaient une atteinte à son honneur et à sa dignité, en raison de son appartenance à la religion juive. Au lieu de s'en prendre à l'auteur des propos jugés par lui incriminants (alors qu'il en avait seulement fait un copier coller partiel) le journaliste en question me mettait donc en examen, moi le philosémite (ami des Juifs), pour antisémitisme. Un comble quand on sait quel était le sujet de l'article initial, "Le grand ras-le-bol des Français juifs", écrit au lendemain de l'assassinat crapuleux d'Ilan Halimi et repris sur des sites communautaires... Juifs !
Depuis le début de cette affaire, en octobre dernier, j'ai pu voir la main de Dieu à l'oeuvre: convoqué par la police, j'ai du me rendre de Bordeaux à Paris une première fois (le jour de mon anniversaire) pour me voir notifier les charges qui m'étaient reprochées. "Hasard" incroyable, j'étais convoqué dans le service où travaillait un membre de notre famille qui s'était approché du Seigneur et venait de quitter son époux, ce qui nous fournit une occasion de lui parler, à son plus grand étonnement ainsi qu'à celui de son chef.
Convoqué par une juge 2 mois plus tard, je dus remonter à Paris pour me voir notifier ma mise en examen. Après des heures d'attente, je vis la Juge au total 3 minutes, et celle-ci me refit signer exactement le même document que le sympathique capitaine de police m'avait fait signer 2 mois plus tôt. C'est à ce moment-là que la Juge me fit comprendre que ma décision de ne pas prendre d'avocat risquerait de me coûter cher puisque je n'aurais pas accès aux pièces du dossier. En attendant de nouveau le train pour rentrer chez moi, j'appelai ce membre de notre famille qui travaillait dans le service de police où j'avais été convoqué. Tout le service était en émoi, le capitaine qui m'avait auditionné était décédé l'avant veille d'une crise cardiaque. Nous avions échangé plusieurs coups de fils ces 6 derniers mois et j'avais seulement commencé à lui exposer nos croyances et la raison de notre soutien à Israël. Mais j'ai compris à ce moment-là que la bataille faisait rage et que rien ne devait être laissé au hasard.
J'ai donc choisi de prendre un avocat et, après avoir consulté les autres prévenus et quelques journalistes au courant de l'affaire Al-Dura, j'ai décidé d'en prendre un neutre, dans un cabinet prestigieux de la capitale. Pour une raison que je n'évoquerai pas ici, mais qui est sans doute liée au côté politique de ce procès, mon avocat a choisi de ne plus me représenter, et ce seulement quelques jours avant la première audience préliminaire. Je me retrouvais donc quelques jours avant maz convocation, au printemps dernier, la veille d'un long week-end férié, sans avocat et sans possibilité d'en demander un commis d'office: les délais étaient trop courts. Sans vouloir épiloguer sur l'aspect peu professionnel de cette défection, et après avoir essuyé plusieurs refus (et aussi après avoir décliné l'offre d'avocats qui me demandaient des sommes astronomiques), un des prévenus de l'affaire, avec qui j'ai tissé au fil du temps des liens d'amitié, me recommandait un ami d'enfance à lui. Cet avocat, Juif également, lui avait fait remarquer un point de détail de droit ce qui lui avait permis de remporter une première manche dans cette affaire très médiatique.
Je montais donc pour la troisième fois sur Paris, avec mon épouse et chose étrange, il me sembla reconnaître à la gare un cousin éloigné. Installés dans le train, quelle ne fut pas ma surprise de voir ce cousin, perdu de vue depuis des années, installé sur le siège juste devant le nôtre. Juriste et syndicaliste, il montait sur Paris pour défendre lui aussi des affaires, dont il m'a longuement parlé, me racontant également dans le détail les "travaux" auxquels se livrait son obédience maçonnique. Comme rien de ce qu'il m'a dit ne peut être prouvé (loi du secret oblige), je n'en ferai pas état ici, mais je peux dire que Dieu avait choisi de me tenir au courant de ce qui se tramait dans l'ombre de certains réseaux.
Je suis donc passé au tribunal ce jour-là, accompagné de mon avocat et de quelques frères et soeurs, pour une audience de quelques minutes dont le but était de fixer les dates et les termes des audiences relai qui conduiraient au procès final. Le Juge, pressé d'en finir avec cette affaire qui, manifestement, commençait à lui peser, proposa une date symbolique pour le procès: celle du 11 septembre ! J'allais donc me retrouver, moi l'ami d'Israël, convoqué un 11 septembre à la 17e chambre du tribunal correctionnel de Paris, pour des faits relevant de l'antisémitisme au même endroit et quelques jours avant un autre célèbre prévenu, leader d'un parti d'extrême-droite que je ne citerai pas mais qui était convoqué pour les mêmes motifs.
Finalement, l'avocate de la "partie adverse" déclara ne pas pouvoir s'organiser pour la date donnée. L'avocate devait en réalité à ce moment-là préparer le même procès contre un autre des prévenus : l'audience fut donc reportée au 8 janvier 2008.
L'été passa et le 10 septembre, comme vous le savez sans doute, une lettre officielle du porte-parole de Tsahal, l'armée de défense d'Israël, était envoyée au journaliste de la chaîne de télévision publique française à l'origine de toute cette affaire. Il y demandait à visionner les fameux rushes, le film complet qui, selon lui, montrerait l'assassinat du petit Mohammed par l'armée israélienne en ce jour de la fin du mois de septembre 2000, et dont la diffusion a causé le soulèvement qui a coûté la vie à de nombreuses personnes, tant Juives que Palestiniennes.
La suite, vous la connaissez: lors de l'audience, l'avocat et le Juge ont réclamé l'examen de ces rushes, lequel a eu lieu courant novembre en audience publique et mis en lumière ce que nous dénoncions depuis le début: la manipulation (la presse anglo-saxonne commence à s'en faire largement l'écho). La décision du Juge étant renvoyée après mon propre procès, en février 2008. Après plus d'un mois et demi d'attente, mon avocat a réussi à avoir le dossier, et relevé une chose étrange, une erreur de procédure apparemment négligée par la Juge qui a examiné l'affaire. La dernière audience intermédiaire s'est tenue jeudi dernier, et le procès aura donc lieu le 8 janvier. M'étant entendu avec l'avocat pour un paiement en 4 fois, je compte sur ceux qui ont les moyens pour m'assister, et je compte bien sûr sur vos prières pour le jour dit, afin que non seulement les charges ridicules retenues contre moi tombent, mais pour que la liberté d'expression, ainsi que l'expression de la vérité des faits, se fassent.
Lire également:
>>> Le webmaster de voxdei jugé pour "antisémitisme"
>>> Affaire Al-Dura, développements récents (Debrieffing.org)
>>> Affaire Al-Dura, tous les articles (Debrieffing.org)
vendredi 7 décembre 2007
Linux Debian + KDE + Beryl = 3D
Voici un autre exemple.