Regardez les gens autour de vous dans la queue d’un cinéma ou sur le
quai d’une gare", commence Doug Gross. "Il y a de bonnes chances pour
qu’une grande partie d’entre eux aient le regard baissé sur l’écran de
leur téléphone ou autre tablette, en train de regarder leurs mails ou
leurs textos, ou de jouer à un jeu vidéo qui aurait nécessité il y a
quelques années un ordinateur fixe ou une console.
Quand vous êtes habitués à ne plus avoir aucun temps mort, tout vide
produit de l’angoisse. Et là, nous avons le smartphone, il est le
perpétuel soulagement à nos angoisses.
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