Réflexions, pensées et analyses sur notre monde. Une goutte dans l'océan de l'internet.
vendredi 27 juin 2008
variation de la bourse depuis 15 ans
1996 : 2200
2001: 6700
2003 :2700
2007:6200
2008:4700
On voit sur ce graphique la bulle internet qui monte monte monte puis qui explose en 2001 et en 2003 les choses redeviennent normale.
Certains conseiller financier nous disent que la bourse en le meilleur placement à long terme. Si on regarde ces chiffre, si on avait acheter des action en 2001, 7 ans plus tard ce serait toujours des pertes.
vendredi 20 juin 2008
Le Traité de Lisbonne est suspendu
Evidement si un seul membre dit NON le traité ne peut pas être accepté. Donc dire qu'il est mort n'est pas de l'eurosceptiscime mais du bon sens. Il faut regarder les choses comme elle le sont.
La seule solution est de ne plus faire voter les IRLANDAIS mais leur parlement comme on a fait le coup à la France !
Il faut évidement d'autre modèles à l'europe. Ce traité forcé et imposé ne convient pas à tous. Il faut une Europe à plusieurs niveaux comme l'euro ou schengen. Ceux qui veulent continuer ensemblent continue et les autres non. C'est avec ce modèle que l'Europe a fait ses premiers pas à 6. Pourquoi pour faire le 2ieme ou 3ieme pas ce modèle ne fonctionnerait pas ?
vendredi 13 juin 2008
Irlande 3ieme pays à dire Non au traité européen
Après la France et les Pays Bas, l'Irlande dit non au traité européen. Seul deux pays l'Espagne et le Luxembourg ont dit OUI. Score 3 contre et 2 Pour.
Un traité qui doit être accepté par TOUS les pays ne peut pas exister ! Les chances sont très faible.
Statistiquement il y a 0.19% de chance qu'un tel sénario se produise en prenant 50% de chance par pays. Avec deux pays cela fait 25% etc... Il y a 27 pays en UE.
Un autre petit calcul. Si on refait voter : il faudra 134 217 728 référendums. Principe : 1 Pays 2 votes car 50% de chances de dire oui. 2 Pays 4 référendums etc...
Comment les dirigeants européens ont ils pu réver qu'une telle question soit acceptée par tous les pays ?
Volontairement les pays n'ayant pas choisis le référendum n'ont pas été pris en compte. Les votent parlementaires ne comptent pas car les politiciens n'ont pas le droit de voter pour eux même ou ne devrait pas avoir le droit.
Si les politiciens force un tel traité il est claire que cela ressemblerait à un coup d'état anti démocratique. Ce traité , est donc refusé par 3 peuples européens sur 5 !
lundi 9 juin 2008
Référendum sur la constitution européenne
Sur ces 4 pays 2 ont dit oui : L'Espagne et le Luxembourg
2 ont dit non : La France et les Pays Bas :
Résultat 50% de pays ont dit oui et 50% ont dit Non !
Il y a une grande différence entre ce que le peuple décide et ce que un parlement décide. La démocratie représentative donne un résultat vraiment différent de la démocratie directe.
Référendums nationaux sur la
Constitution européenne
Danemark référendum suspendu
Espagne Oui Oui (77% de 42%)
France Non Non (55 % de 69%)
Irlande référendum suspendu
Luxembourg Oui Oui (56 % de 90%)
Pays-Bas Non Non (61 % de 63%)
Pologne aucune date donnée
Portugal référendum suspendu
République tchèque aucune date donnée
Royaume-Uni projet de loi gelé
mercredi 4 juin 2008
Openstreetmap projet source ouverte de cartographie
OpenStreetMap (OSM) permet de créer et de fournir des données géographiques libres et gratuites. Elles peuvent servir, par exemple, à créer des cartes routières pour ceux qui le désirent. Ce projet a débuté parce que la plupart des cartes disponibles, même gratuitement, ont des restrictions légales ou techniques limitant leur usage et empêchant de les utiliser de façon créative, productive ou innovante.
Dans de nombreuses parties du monde, les données géographiques ne sont pas libres, comme par exemple au Royaume-Uni et dans la plupart des pays d'Europe. Ces pays délèguent le travail de cartographie à des agences gouvernementales financées par la revente de ces données. Les États-Unis sont le principal contre-exemple où pour des restrictions de copyright le gouvernement doit les donner gratuitement (free -> (gratuit|libre) ?).
Si vous vivez dans un de ces pays, alors vous payez des taxes pour le travail de cartographie et vous devez à nouveau payer pour avoir le résultat de ce travail.
Les données que vous recevez ne changent pas beaucoup dans le temps. Les routes ne bougent pas beaucoup et vous pouvez généralement naviguer dans de nombreux endroits avec des cartes de l'après-guerre ou plus récentes.
Les données que vous recevez contiennent parfois des erreurs volontaires pour détecter le plagiat. Ces "Oeufs de Pâques" (Easter eggs) peuvent être de fausses rues, des rues manquantes, ou bien encore des églises ou des écoles qui n'existent pas vraiment. Si vous faites une carte en copiant leurs données, ils peuvent le savoir puisque vous aurez aussi copié les erreurs volontaires qu'ils y ont mises. La carte peut aussi être erronée juste parce que la réalité du terrain a changée depuis que la carte a été faite ou bien parce que quelqu'un a fait une erreur involontaire.
Même si vous acceptez tout cela, vous ne pourrez pas en faire grand chose à part des photocopies. Et encore, cela peut dans certains pays être considéré comme illégal si vous dépassez un usage raisonnable. Vous ne pouvez pas corriger le nom d'une rue, ajouter l'emplacement d'un bar dans une rue ou utiliser les données dans un programme informatique sans devoir payer beaucoup d'argent, probablement plus que vous n'en avez. Et qu'en est-il lorsque vous incluez une copie de ces données sur un carton d'invitation ou bien que vous la mettiez sur un tableau d'affichage ? La plupart de ces usages sont plus illégaux que vous ne le pensez.
Les progrès dans la technologie avec par exemple des récepteurs GPS de plus en plus abordables, vous permettent maintenant de faire vos propres cartes, en collaboration avec d'autres personnes, et cela sans avoir aucune des restrictions citées ci-dessus. Cette possibilité vous permet aussi de retrouver une partie de la communauté dans laquelle vous vivez.
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dimanche 1 juin 2008
Algerie : une chretienne en prison
Dans la presse, c’est devenu « l’affaire de Habiba Kouider, la chré-tienne », du nom d’une éduca-trice de 37 ans arrêtée le 29 mars à Tiaret (plus de 300 km à l’ouest d’Alger), dans un bus en provenance d’Oran, en possession d’un lot de bibles et poursuivie pour pratique d’un « culte non musulman, sans autorisation ». Le 27 mai, le verdict de son procès a été reporté dans l’attente d’un complément d’informations.
Une ordonnance, promulguée en février 2006, combat ce que les autorités religieuses qualifient de « campagne évangélique agressive ». L’activité du mouvement évangélique se traduit certes par des conversions. Mais son ampleur est très exagérée par les journaux arabophones, compte tenu de la très faible proportion des chrétiens, catholiques et protestants, dans le pays.
Le ministre des Affaires religieuses a accusé la minorité évangélique de vouloir « favoriser l’ingérence étrangère dans les affaires intérieures ». Un argument sensible dans un pays où la religiosité islamique n’a jamais été aussi prégnante et où certains accusent le gouvernement d’en rajouter pour des raisons politiques.
De son côté, le ministre de l’Intérieur, Yazid Zerhouni, fait observer que « plusieurs lieux de culte et de prière, musulmans, chrétiens ou autres, qui n’avaient pas d’autorisation, ont été fermés ».
L’ordonnance de 2006 rend obliga-toire, en effet, un agrément pour l’ouverture d’un lieu de culte – y compris musulman – et un autre agrément pour l’imam chargé du prêche. Mais, observe le vice-président de la Ligue des droits de l’homme, Noureddine Beni Issad, la militante évangélique Habiba Kouider n’a pas « été surprise en train de faire acte de prosélytisme.
Son seul tort est d’avoir gardé chez elle des manuels religieux ».